La designer Nathalie Talec matérialise le sens de l'architecture au moyen de matériel lumineux sur la Place d'Arme.
Dans le cadre d'un appel à projet organisé par Saint-Étienne Métropole à l'initiative du Musée d'Art Moderne avec de nombreux partenaires ( ville de Saint-Étienne, Établissement Public d'Aménagement de Saint-Étienne, la Cité du design ) l'École supérieure d'art et de design et l'école Nationale supérieure d'Architecture de Saint-Étienne et soutenue par la Région, dans le cadre du grand projet Rhône-Alpes, l'artiste a proposé, une oeuvre qui par la lumière matérialise un mobilier et donne un sens corporel à l'architecture. Élaboré selon les principes sensibles du Modulor de Le Corbusier, ce refuge éblouissant devient un espace d'habitabilité et de projection mentale et propose, de jour comme de nuit, une perception troublante du temps et de l'espace.
Dans le cadre d'un appel à projet organisé par Saint-Étienne Métropole à l'initiative du Musée d'Art Moderne avec de nombreux partenaires ( ville de Saint-Étienne, Établissement Public d'Aménagement de Saint-Étienne, la Cité du design ) l'École supérieure d'art et de design et l'école Nationale supérieure d'Architecture de Saint-Étienne et soutenue par la Région, dans le cadre du grand projet Rhône-Alpes, l'artiste a proposé, une oeuvre qui par la lumière matérialise un mobilier et donne un sens corporel à l'architecture. Élaboré selon les principes sensibles du Modulor de Le Corbusier, ce refuge éblouissant devient un espace d'habitabilité et de projection mentale et propose, de jour comme de nuit, une perception troublante du temps et de l'espace.
