
Dans le cadre du partenariat avec la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 2025, l’entreprise Kinnarps – dont une des agences est basée à Lyon – a souhaité interroger l’Ésad Saint-Étienne sur la seconde vie des sièges de bureau. Un workshop avec des étudiants de l’école a donné lieu à plusieurs événements lors de la Biennale.
Dans la mise en place de ce projet destiné à proposer des solutions pour la seconde vie et le recyclage de ses pièces
de mobilier, Kinnarps a faisant appel à des sous-traitants et à des partenaires locaux de
la région lyonnaise afin de s’inscrire dans une démarche d’économie
circulaire.
Après avoir visité Tizu, première usine de mobilier upcyclé en France, les étudiants de l’Ésad Saint-Étienne ont été conviés à des ateliers techniques accompagnés par trois experts de Kinnarps.
Les pièces de récupération pouvant être utilisées et modifiées pour la conception de siège de bureau ont été inventoriées avant de rejoindre un atelier créatif autour de la conception 3D, des tendances, et des matériaux.
Parmi les différentes assises réalisées par les étudiants, trois ont été présentées à la Biennale dans l’exposition Le droit de rêver :
• Patch d’Hélène Caffin Pinon intègre des éléments scratchés pour être remplacés lorsque la couleur et le tissu sont usés,
• Pansement d’Augustin Collet, propose un porte-manteau intégré,
• Flouv de Ysé Domerg, aux allures de nuage.
En savoir + sur l’exposition
Cinq pièces ont également été exposées et testées au siège de la CCI – 57 Cours Fauriel à Saint-Étienne – dans le cadre de son partenariat avec la Biennale :
• Protes de Gwenaëlle Dutay,
• Cigogne de Matéo Rouvier,
• Up 5000 deMlekuz Alja,
• Smash de Margaux Muet,
• T-sit d’Eve Gourdin Wagner.